Introduction RP : c'est ici que le jeu débute

Beaucoup s'en doutent depuis un bon moment.
D'autres se le cachaient pour y croire encore.

On a tenté plusieurs manoeuvre de réanimation?
Massage cardiaque, insufflation, et autre tripotage peu courtois.

Rien n'y a fait.

On s'est fait beaucoup de mal ces derniers temps.
Beaucoup de mal a s'acharner.

Le concept de Munuroe avait un potentiel, mais nous, avions nous vraiment la compétence …

Je repensais à ce que quelqu'un nous a dit en claquant la porte. D'ailleurs, un écho s'est glissé par la fenêtre après son départ en haussant les épaules et en dandinant du cul : Nous sommes fragiles et vacillants comme la flamme d'une bougie, trop instables pour qu'on y consacre son énergie créatrice.
C'est difficile de répondre à un écho. ça vient de loin, c'est aussi franc qu'un …

Passage obligatoire : vous êtes dans le port et vous êtes surpris par la tempête.
Vous présentez votre perso et vous le mettez en situation.
Vous vous refugiez sur le bateau, dans la pièce de votre choix.

*Quelque part dans Le Temple des Dieux*

Hey pôpa tu viens jouer? Aller steuplait pôpa t'as dis que tu jouerais avec moi ! T'as dit que tu me montrerais mes grands pouvoirs aujourd'hui ! Pôpa pôpa pôpa pôpa pôpa ! Aller viens arrête de jouer avec la madame là ! Pô...

*L'instant d'après sur le port d'Aster Damné*

...paaaaaaaa! Hein? Pôpa? Pôpa t'es où? Tu joues à cache-cache? Où tu es? C'est pas drôle, il pleut, il fait froid y'a du vent et j'ai peur !

T'avais promis pôpa, t'avais promis que tu m'apprendrais à me servir de mes pouvoirs de Déesse !

OUINNNNNNNNNNNNNNNNNNNN

T'es meuchant pôpa ! Et puis fais pas la sourde oreille je sais que tu m'entends ! Pfff t'es pas drôle !

Je sais même pas où je suis, et puis il pleut de plus en plus fort... Sniff

J'm'en fiche tu pourras faire ce que tu veux je te boudes d'abord na! Et pis il peut pleuvoir c'est pas grave je vais aller me mettre à l'abri dans le bateau là et toc !

*Tire la langue dans le vide en tournant sur elle même et se dirige vers le bateau*

Bouh il est tout cassé le bateau... Youhouuuuuuuuu y'a quelqu'un dans le bateau??? Répondez s'il vous plait, j'ai froid et j'ai peur toute seule dans le noir ! Non mais répondez euh !!!!

Tant pis je monte quand même ! Je fais ce que je veux !

*Monte sur le bateau et rentre dans la pièce principale*

La suite ici

Préoccupée.. cherche aux étals , le moins cherrant pour les potions revigorantes...Examine les jolies choses, elle aime les belles choses..
si seulement elle osait un peu chaparder .. mais .. le Type là, il la fixe un peu trop ..et .. pas assez de place pour prendre son envol sous cette toile ...
En plus le nidiot, il fait que de la taille humaine presque , faudrait tout ajusté. Elle Pourrait demandé a Harzka.. Ah tiens ou elle est celle la!!
Lâche les tissus et jette un œil pour voir ou est sa sœur ...sentant le bonhomme la suivre du regard..

Ouais reluque mes formes ..pfffff! pas pratique d'attirer l'attention quand on vole..
Je devrais m'habiller un peu plus oui ... Mais ou elle est passée donc? Goulash de goulash!!

Bon Et vous les faites a combien celles-la.. Et si je vous en prends 20? Quoi ? pas de prix en rabais ..allez pensez-y..

Moins de tout à rentrer ce soir hein! et votre Femme qui va vous faire les beaux yeux à voir la bourse bien bombée ...

Bat des cils en appréciation illusoire, petite danse voletante de gauche a droite..

scrouche boummm badabooommm!!!

La pluie fluette se transforme en déluge, seau d'eau déversé par quelques dieu enragé... trop pour être de la tristesse, la bourrasque se fait charroyante de feuilles et de poussière lourde d'eau , tâchant sur son passage sa ravissante tenue immaculée.

Goulassssh!

et Crakkkkkkk!

La toile usée cède sous un coup de vent féroce...Rapide, elle saisit quelques potions et un échange.. s'envolant comme elle peut contre et avec la force éolienne
visant du coup la cache la plus près..le bateau ... la-bas.. Laissant là, le marchand se démerder à garder son stock en place . Elle ne l'avait jamais remarqué celui-la ..étrange quand même !

S'essouffle et sent la lourdeur de l'eau, la ramener vers la terre .... ferme les yeux direction tenue, acharnée contre la tempête qui prends forme et vigueur ..trouve cordage ou s'enrouler et s'en sert comme de liane pour entrer dans le premier trou trouvé.

Esperons qu'Harzka y est.. pas un temps à faire voler une sylpheline...

La suite ici

La petite Sylpheline se promène sur les quais, zigzagant nonchalament entre les dockers chiquant leur tabas et les marins plus pressés de visiter les échopes locales pour se vider les bourses et se remplir la panse.

Faudra que je demande à Nhessi pourquoi il y a autant de monsieur et femmes tous nus. Il ne fait pourtant pas si chaud que ça !, s'interroge-t-elle en passant devant les grandes baies vitrées exposant les marchandises.

Le vent se lève, le tonnerre gronde et d'énormes gouttes de pluie, aussi grosses que son poing, se déversent par panières entières.

"Tiens donc, v'là la vache céleste qui se déleste la vessie maintenant !! Drôle de pays, vraiment."

Avisant un navire, elle lutte pavé par pavé, escaladant à l'horizontal la jetée, mordant toutes les chausses qui partent dans le bon sens pour progresser. Dès qu'elle le peut, elle se hisse à la passerelle pour se lover dans un tas de cordage au pied du mat, se cachant du mieux qu'elle peut en plantant son cure-dents entre deux lattes du pont.

On va attendre que ça passe ici, ça a l'air tranquille. Si j'attrape l'imbécile responsable, il va pas être heureux longtemps !!, se jure-t-elle aussitôt.

Faut l'avouer, je n'étais pas d'excellente humeur. J'étais fatigué et je revenais de Lonedonne. Donc, je puais la poubelle et la cocotte en solde. Je haïssais cette ville, vieille mondaine fardée et narcissique et ses habitants hautains au sourire douceâtre.

Je n'avais qu'une envie, être embauché dans un équipage, puis consumer mes derniers biftons dans un des bordels exotiques du port.
Programme que j'accomplis à la lettre avec une détermination inébranlable. Je réussis si bien que la nuit était à peine tombée que je me retrouvais, titubant, sur les quais, le visage couvert de traces rouge putain, l'œil hagard et l'haleine fleurant le rhum.
La tempête me surprit alors que tentais vainement, debout en équilibre précaire sur une bite d'ammarage, de beugler une chanson dont j'avais de toutes façons oublié un couplet sur deux. Je pris les bourrasques dans la tronche et les éclairs comme une déclaration de guerre et j'étais en train d'invectiver copieusement la météo lorsque les deux coupe jarrets me tombèrent sur le râble.
Le temps que l'idée de me défendre se fraye un chemin dans les méandres de mon esprit brumeux, ils m'avaient délesté de ma bourse et balancé à la flotte.
Ce qui eut pour effet de rapidement me dessoûler, je me promis d'ailleurs de me rappeler ce traitement pour une utilisation ultérieure.
Aveuglé par les paquets d'eau salée qui déferlaient, emmêlé dans mes vêtements gorgés d'eau, je me dirigeais rapidement à la nage vers une masse sombre près des quais.

La vieille épave.
j'attrapais un filin éffiloché qui pendait à babord et me hissais sur le pont.
J'étais trempé, j'en avais marre de tout. le mieux était de dormir, on analyserait tout ça demain. Je me dirigeais vers la poupe et les cabines.

Age : 38 Race : Zumaine Date d'inscription : 05/12/2008 Nombre de messages : 22

NOOOOOOOOOOOOOOOOOON !
Pas la pluie ! Pas encore ! Pas maintenant !
Tout est fermé a cette heure ci, en plus !
Tssssss c’est moi ou c’est toujours a moi que ca arrive des conneries pareil !

Si au moins j'étais plus jolie en poule mouillée, alors d’accord !
Mais non même pas !

Oui je l’ai vu ce bateau, mais c’est pas une raison, j’ai dis non !
Non j’ai pas peur c’est pas ça, c’est juste que...ça doit sentir le moisi la dedans et j’aime pas le moisis, ça s’inflitre dans les habits et après pas moyen de s’en débarrasser voila !

Non ! c’est décidée pas la peine d’insister !
C’est bon j’ai dis non il peut arrêter de pleuvoir maintenant...
Non ? bon...
Mais juste la a l’entree du bateau je vais pas plus loin !

Et puis je suis deja assez bien cachée comme ça, sauf si il commencer a pleuvoir en biais mais bon, faut pas exagérer non plus.
Ah ben si..... mais c’est pas vrai !!!
Ça va, ça va je rentre !

Me voila fin tiens ! A peine l'air débile avec tout mes cheveux plaqués sur le front ! Y'a quelqu'un qui va regretter de s'etre réveiller ce matin, mais qui ? Pas encore décidée...

Bon vu que j'y suis deja et que le temps a tout sauf l'air de vouloir s'améliorer, j'vais en profiter pour voir de quoi il en retourne se rafiot...
Des serviettes, vous connaissez ?

Oh hé ! Y'a quelqu'un ?

Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!!!!!!!!!!!

Le truc qui passe en poussant un cri perçant ?
C'est moi.

*ploc*

Ca aussi c'est moi. Je viens de me manger une paroi de bois.

*floc*

C'est toujours moi, j'ai glissé de la paroi de bois, en vrac sur le sol du pont, un tas pitoyable de cheveux en bataille, d'ailes trempées et de fringues plus ou moins en désordre.
Deux secondes pour essayer d'ouvrir les yeux dans cette foutue tourmente, je tâtonne la paroi qui a arrêté mon voyage. J'y trouve un truc qui fait bouton de porte, j'ouvre, et la porte m'échappe immédiatement, poussée par le vent. Vers l'intérieur.
Intérieur ?
Sec ?
Calme ?
Abri ?

Il aurait pu espérer mieux pour une première visite à Amster Damné. Mauvaise chasse, plus un rond et pour couronner le tout, un temps pourri. Encore une journée à oublier, en somme.

"Et elle est où la banque dans ce foutu patelin!"

Surtout, ne pas perdre espoir... trouver un endroit couvert, à défaut de pouvoir entrer à l'auberge. Le vent souffle de plus en plus fort, ça sent la tempête. Manquait plus que ça.

"Dépêche toi, Vil, tu vas encore te ruiner les ailes!"

Une rafale le surprend, lui faisant presque perdre l'équilibre. Finalement, il se remet à marcher avec difficulté, arrivant tant bien que mal sur les quais. C'est vrai que pour trouver refuge, rien de mieux que se mettre à découvert... Le bateau là bas, fera l'affaire, et il n'est apparemment pas le seul à y avoir pensé. Plié en deux, un bras devant le visage pour essayer de voir devant lui, il avance en peinant, ses ailes le faisant souffrir au plus haut point.
Agrippé au cordage qui mène au pont, il parvient à se hisser jusque sur le bateau et pousse la première porte qu'il trouve, entrant dans la salle principale...

L’Ordure traînait dans le port, il avait occupé sa journée par de petits jeux puérils comme jeter des chats dans la mer, ou encore faire du jus de cafard avec ces jolis petits insectes qui frétillent et qui font CRACK sous la main. Il avait pêché aussi et sa façon, en se planquant sous une étale et en ramassant les poissons pourris que la vendeuse jetait sur le pavé sale.
C’est ainsi qu’il se prit les premières bourrasques dans la figure, un poisson à moitié mordu coincé entre ses dents.

GNAAAAAAAAA !!!

L’Ordure déteste le vent ! Le vent décoiffe sa jolie coiffure !!!

Il en goba son morceau de poisson pourri et se précipita vers le premier navire.
C’est pas le vent qui le gênait, il avait adopté une position habituelle pour se déplacer. Ramper, c’est un peu son truc à l’Ordure.
Et il rampa jusqu’au cordage d’amarrage, s’y accrocha et maudit les rats qui prenait son corps pour une passerelle.
Au passage, il planta ses dents dans celui qui pris son nez pour un perchoir et l’avala.

L’Ordure aime les rats bien frais !
BURP

Un dernier coup de rein et l’Ordure est sur le pont.

*Celui qui m'a dit qu'il faisait beau près de la mer... BAH C'EST FAUX!
J'ai froid! Je suis trempée! Et je suis énervée!

C'est même plus une tempête! C'est un déluge!

Déluge... déluge... j'ai déjà lu un truc dans le genre quelques part... mais je sais plus où...

Bon cherchons un abri le temps que ça se calme... Y a intérêt à ce que je trouve une salle de bain pour que j'arrange les dégâts du vent et de la pluie!

Pi faut que je trouve un endroit pour prier aussi! Non parce que là... Ça ne peut plus durer!*

Raaah! Je savais que je n'aurais pas du quitter le temple et LoneDonne!

Pi qu'elle idée d'être habillée en blanc par un temps pareil!

Heureusement que je n'ai croisé personne...

Eressea s'avance sur les quais luttant contre le vent.

Un bateau!

*Euh... Déluge... bateau... Non y a pas j'arrive pas à réfléchir avec tout ça!*

Bon apparemment c'est le seul abri par là... Génial... You hou je saute de joie... ou pas...

C'est donc dans la joie et la bonne humeur qu'Eressea grimpa à bord du bateau.
Une fois à bord, elle ouvrit la première porte en face d'elle!

Chouette une cabine!

Les plus grosses bites de Munuroe ! C'est ce qu'il avait dit... Bien plus grosses que celle d'Odieu. Si seulement c'était possible !
En bonne professionnelle, je devais en avoir le coeur net ! Je me suis donc rendu au port.. Amster Damné ; toujours eu horreur de ce nom ! Et puis, il y a là une concurrence peu reluisante ; des putes de bas étages... des trainées, ni plus ni moins.

Au port, tu trouveras les plus grosses bites que tu n'as jamais vu ! Sur les quais ! C'est bien ce qu'il avait dit, ce client à l'engin atrophié, lorsque, chatouillée par ses assauts maladroits, j'avais ri de bon coeur et sans retenu aucune.

Arrivée sur les quais, pas un chat... Et encore moins d'hommes... et pas la moindre bite à l'horizon ! Il m'a bien eue, le saligaud avec son micro-pénis.

Déçue, je m'assieds donc sur une bite d'amarrage.
Le fer glacé et humide appuie sur mon petit bouton, et là, révélation, stupeur, colère.

Oh le CON !

Il s'est bien foutu de moi... et moi, je cours, je vole, et je tombe dans le panneau comme une débutante, attirée par ma soif de connaissance.

Soudainement, le ciel s'assombri, le vent se lève arrachant les feuilles des arbres, chantant entre les mats des quelques bateaux amarrés.
Des éclairs déchirent les nuages, les faisant alors déverser leur eau sur les quais, se mêlant aux vagues assez fortes maintenant pour venir s'écraser se pousser Themis de son siège de fortune.

Si les bites sont en fer, la mer est pour sur une des pires femme-fontaine de l'histoire... Divin, certainement... Quoiqu'il en soit, ce n'est pas un temps à mettre une sylpheline aussi jolie que moi dehors ! Pas le temps d'aller à Lonedonne, et je peine à ne pas me faire emporter par la tempête. Même l'auberge désaffectée et mal famée du port me semble bien trop loin de là. Heureusement, cet étrange bateau me temps lugubrement sa rampe.

Allons-y, qu'est-ce que je risque ?

[Vers la cabine du capitaine ]

- troooop cooool ! une invitation pour une croisière !

* Sans plus attendre, Nano prend sa valise et fonce vers les docks. Un beau ciel bleu, un soleil éclatant, la sylpheline court à toute hâte vers le navire. Habillé d'un paréo et d'un bikini (particulièrement petit mais bon ca va avec le reste ...no coment).

Elle pose le pied sur la passerelle et l'orage éclate d'un coup ! des nuages noires apparaissent d'on ne sait où...vous savez cette impression de pouasse ou vous avez l'étrange idée que le nuage est juste au dessus de vous et qu'il vous suit ?? vous voyez ?? bon bah là c'est pire..*

- bon bah pour la douche, ça c'est fait...

*Elle monte sur le bateau et aperçoit Themis. Elle s'approche d'elle d'un air maussade*

- salut ! arf ils auraient pu prévoir du beau temps... pas terrible la reconversion des dieux en agences de voyage... Il est où le bureau des plaintes, nan comme ça c'est fait....

Je me promenais à mon habitude , quand j'apperçus un énoooorme bateau .
Chic j'vais aller faire une croisière !!!Mais le vent se lève ? bof ! Ce sera pas si terrible !
Rapidement je mefaufila sur le bateau , heureusement j'eus le temps de déposé un mot à papa à l'auberge

Citation :: Ta gentille Manille va se promenée
signé ta p'tite Manille .

Pourquoi ne suis je pas restée dans les basfonds de ma ville? Ceux que je connais par cœur, là où je ne me laisserais pas surprendre par cette £ù$#*& de pluie. J'ai le poil qui mouille, et ça n'a rien à voir avec la séance de rodéo avec mon grand taurens. Oh non, rien à voir. Je déteste ça. Pas autant que les gens, ou que les Dieux, mais je déteste ça.

Et comme si ça ne suffisait pas, v'là le vent qui se radine. Il pourrait être utile si la flotte s'arrêtait de tombée. Mais averse plus vent, ça, c'est trop. Il me faut un abri, et fissa. Mais bien sur, je suis sur un port, à une heure où ces fégnasses de vendeurs de poscailles ont baissé le rideau. Le bistrot du coin est plein à craquer, il ne reste que ce truc, là. Ce truc que je n'aime pas. Ce truc en bois et qui flotte. D'ailleurs, quand on voit toute la flotte qu'il laisse passer, on se demande comment il n'a pas encore sombré.

[Direction: Les cales ]

Le ciel s'assombrit, il va pleuvoir... Je ferais mieux de rentrer à l'auberge avant que ça tombe...

Mike entra. L'aubergiste lui remit un mot.

Citation :: Ta gentille Manille va se promenée
signé ta p'tite Manille .

Manille... Non ! Pas sous cette tempête...

Ni une ni deux, Mike sortit de la taverne ; les bourrasques de vents giflaient les trombes d'eau. Le ratling marchait tant bien que mal, luttant à chaque instant pour ne pas s'envoler. Il préféra alors prendre la voiture, sans chauffeur pour une fois...

L'engin peinait à avancer, mais il avançait. Personne dans les rues de Lonedonne, personnes au village de Robe Inwoude... Il alla alors vers Amster Damné ; il lui avait pourtant interdit d'aller vers le port seule.

Qu'est-ce que c'est qu'ça ?

Le ratling descendit de voiture ; il avait vu quelque chose sur le quai.

Son bonnet... J'avais fait mettre une étiquette à l'intérieur... Oh ma Manille, où es-tu ? J'espère qu'elle va bien...

MANILLE !!

Qu'elle n'est pas tombée dans l'eau... Mon Dieu, ma Manille...
Dis moi que tu as eu l'idée de te réfugier dans ce bateau... que tu n'as pas eu peur de son état...

Le ratling, si sur de lui d'habitude, perdait toute sa belle assurance lorsqu'il sagissait de sa fille adoptaive, sa protégée... la jeune taurenne, Manille. Il monta alors à bord du bateau, espérant l'y retrouver saine et sauve.

Mortualya vaguait non loin du port..son épée à la main,elle avait profiter de fouiller quelques poubelles, et y tuer des rats, quand elle fut surprise par une tempête soudaine..

C'est bien la première fois que je vois une telle chose se produire... je dois trouver un refuge attendre un moment...

Elle scruta alors du regard les alentours, puis elle vit alors quelques gens se presser vers un navire, ombré de grâce...de grâce, celle qu'il tienne encore sur les flots...

Elle les suivit alors...

Espérons que celui-ci ne coule pas... ça serai horrible pour mes nouveaux vêtements...

Elle avait croisé plusieurs personnes sans leur dire mots...elle voulait tout d'abords observer les alentour, la réaction de chacun dans se chaos...

Elle prit une chaise qui se trouvait à terre et s'assit dans un coin...lorsque...

DriiinnnG , DriiiiiiiinG. Le téléphone sonne à cette heure tardive? Pffff y en a qui ne doutent de rien...

QG des Ailes Angels, Raid Bull à l'appareil, j'écoute?

Oui Alloooo, Don Corne Léon, comment vas-tu cher cousin?

Mon cousin qui me téléphone, pffff il a surement encore besoin de moi pour de ces affaires louche, il doit tremper dans une soupe pas claire ...

Bah ça va on fait aller, j'ai remis en état une vieille bicoque pour mon gang, que puis-je pour toi?

J'espere que ce sera pas encore un de ces coups foireux ...

Alors voilà la situation est grave
Dans le port d'Asterdamné
Y a des marins qui boivent
Et qui boivent et reboivent
Et qui reboivent encore
Ils boivent à la santé
Des putains d'Asterdamné
De Hambourger ou d'ailleurs
Enfin ils boivent aux dames
Qui leur donnent leur joli corps
Qui leur donnent leur vertu
Pour une pièce en or
Et quand ils ont bien bu
Se plantent le nez au ciel
Se mouchent dans les étoiles
Et ils pissent comme je pleure
Sur les femmes infidèles
Dans le port d'Asterdamné
Dans le port d'Asterdamné.
(reprise dun couplet bien connu)
Et donc il faudrait percevoir les taxes de protections, seulement je me fais vieux.
Tu pourrais y aller à ma place je te récompenserai?

Pffff aller jouer les récolteur... Genre je suis un homme de main... Enfin bon j'ai besoin de tune ...

Bon d'accord cousin j'y vais pour toi mais je garde la moitié de la recette.

Raid raccrocha le téléphone, il s'equipa dans son arsenal, on ne sait jamais sur qui on va tomber... Il se dirigea et enfourcha sa Zéphyr...

Bon direction le port ...

A peine arrivé le ciel se couvre. Des nuages épaississent la nuit étoilée, des éclairs commencent à déchirer la voie lactée. Le Tauren parqua sa moto dans le premier container venu et se dirigea vers les docks... lorsqu'il commença à doucher ...

Tain fait chier, je vais avoir le poil qui va boucler encore ... Faut je trouve un endroit et vite ...

Rien a gauche, à droite l'auberge viens juste de fermer, derrière c'est la route et devant une vieille épave flottante.

Ouais bon ça servira le temps que ça passe.

Montant sur le raffiot, il entendit des voix... Du monde, qui c'etait, le Tauren ne voulait pas le savoir, hop direction les cales pour être bien tranquille, puis y a souvent de la marchandise interessante là bas autant rentabiliser ...

[La cale]

Age : 39 Race : Humain Date d'inscription : 25/12/2008 Nombre de messages : 79

Jusque la, ça semblait être une bonne idée...Sisi, j'vous jure.

Il faisait beau, un p'tit vent frais qui caressais le visage, quelques embruns par ci par la pour déposer une note marine et salée sur les lèvres...Le bonheur quoi.
Bon, ok, Les pavés gris aux reflets verdatres, humides et glissants, la mer bleue aux reflets d'argent, ça valait pas l'herbe douce et verte de Robe in Wood et ces reflets dorés qui percaient au travers des arbres...Mais quand même...c'est vrais que ça valait le détour, Aster Damné

Et pis la, d'un coup, sans prévenir, ploc, une goutte qui s'écrase contre ma joue.
Une goutte, c'pas la mort hein, et puis en général j'aime bien la pluie. Elle m'apaise, me détend, quand je la sens ruisseler sur mon visage et le reste de mon corps.
M'enfin la, ça commence à faire beaucoup. Parce que la p'tite goutelette, elle a appelé ses p'tites copines qui se sont empressées de se radiner....et en plus ça commence à souffler sec.

Dingue, j'pensais pas que ça s'levait si vite les coups de vent dans la région.
On y voit même plus à deux mètres avec ces trombes de flottes qui tombent et sont balayées en rafales succesives sur les quaies.

Un p'tit coup d'oeil à droite, à gauche...Y'a une grosse masse sombre pas trop loin, ça devrait faire l'affaire en attendant que le grain passe.
Un bras levé pour me protéger le visage, j'avance d'un pas hésitant sur les pavés glissants. Il me semble apercevoir quelques ombres se diriger vers le même endroit que moi. Apparement je serais pas seul. Tant pis, va falloir faire avec.

Ca y est, j'y arrive. A ba merde alors, c't'un rafiot ce truc...et pas un petit. Par contre, il tire une sale gueule, j'me demande bien quel âge il traine....et en plus il put les relents de pourriture, de bois moisi...Ca promet.
De toute façon, j'suis trop loin pour aller ailleurs, alors vogue la galère.

Ah voila la coupée, il me reste qu'à monter sur le pont.

C'était la première fois que je m'aventurais par ici. Dans cette ville pourrie, grise et malodorante. J'avais quitté Lonedone par l'est, histoire de me ressourcer dans le calme apaisant des bois qui jouxtent la ville. Et j'avais marché, marché, et encore marché.

Finalement, en fin de journée, j'avais aperçut les premiers bâtiments et, la nuit menaçant de compliquer mon voyage de retour, j'avais décidé de m'enfoncer dans les rues de la ville, à la recherche de quelque auberge.

Après encore une heure ou deux à déambuler dans les rues de la ville, je m'étais retrouvé à errer sur les quais de la ville, l'esprit ailleurs, légèrement bercé par le bruit des vagues s'écrasant contre les robustes appontements.

C'est aux gémissements graves et puissants d'un immense navire amarré que je me rendis compte du vent fort qui assaillait la côte. Une pluie battante se mis soudainement à tomber. Des milliers de gouttes d'eau venaient se fracasser contre les pavés dans un vacarme à la fois assourdissant et relaxant.

Je levais la tête, savourant les gouttes qui fouettaient mon visage avec douceur et fraicheur. Cette impression de pureté me transportait. L'odeur des pavés mouillés, de la pluie citadine, de la nature dans toute sa force, m'enivrait.

Puis, comme si mon corps me rappelait à la réalité, un frisson me parcourut l'échine, et je pris conscience de mes vêtements déjà trempés, de mes cheveux ruisselants, de mes bottes pleines d'eau. Je devais m'abriter et la première direction qui me vint à l'esprit fut le robuste navire arrimé au quai à quelques pas de là.

Je franchis la distance rapidement, en courant comme rarement il m'arrivait de courir, et arrivais finalement sur le pont du bâtiment.

Comme un con...

J'étais là, comme un con, tout aussi à la merci de la pluie que sur le quai, mais sur un bateau inconnu et, qui plus est, dont l'armature semblait crier au supplice.

Finalement, tirant ma capuche pour mieux me protéger de la pluie, j'observais le pont, et après avoir fait plusieurs tours sur moi-même, j'aperçus enfin une cabine, de l'autre côté du vaisseau.

==>Toujours sur le pont

Maxence n'avait pas pris de plomb dans la tête, juste un peu d'acier sur la gorge... Se retrouve ne sait comment, par hasard sûrement, dans le port d'Amster Damné, un peu larguée comme à l'accoutumée, reluquant un peu partout.

Les pensées engourdies par des denrées d'alcoolémie, elle se rendait à peine compte de la tempête qui s'abattait.
Mais quand-même, à l'évidence, ça devenait compliqué de se ballader...au plus près, là, y'a ce bateau délabré...y'a sûrement personne là-dedans, il doit être là depuis un sacré bout de temps.

Maxence vole vers le deux-mâts; mais accélérée par une bourrasque, se retrouve collée sur les vitres de la cabine du capitaine...malgré la pluie qui ruisselle, elle aperçoit un petit paquet de sylphélins à l'intérieur...mfff!...de toute façon, pas trop le choix, nécessité fait loi, et quand faut y aller, et cetera...

http://munuroe.jdrforum.com/jour-de-tempete-f33/cabine-du-capitaine-t608-15.htm#13075

Il pleuvait averse! Jamais de ma si "courte" existence je n'avais vu pareil déluge. Pire que l'Apocalypse!

Ce que je faisais à Amster Damné? Bah... Il vous faut vraiment une raison? Bon... Alors disons que je découvrais le pays. Comment ça pas crédible?!
D'accord. En faite, j'étais en train de m'amuser à cogner sur ces putes qui se croient tout permis, qui vous regardent de travers avec mépris, comme si votre fessier n'équivalait pas le leur. Forcément, forcément, vous comprendrez qu'il y avait derrière moi comme une odeur de chairs brûlées.
Enfin, brûlées, et mouillées aussi maintenant.

Je glissai une main dans mon décolleté. Une allumette. Deux allumettes. Trois... Quinze. Et pas un bifton! Rha! Fauchée comme d'habitude! Où est-ce que je vais dormir moi?!

Et puis, au milieu de ce déluge, j'ai eu cette vision lugubre d'un navire fantôme amarré au port. Un refuge, un abri.
Mais attention, chassez bien vite cette vision là: Noé et son arche.
D'une part, Noé avait pas mon justaucorps ni mes courbes alléchantes. De deux Noé incarnait le bien, c'est d'ailleurs pour ça qu'il a été sauvé. Et de trois, ce rafiot n'a rien, mais vraiment rien de l'arche...
Quoique. Passés les premiers pas fait sur un pont détrempé et vermoulu pour m'enfoncer dans l'antre béant de la chose... J'ai eu quelques doutes.

Il était comme toujours sur sa belle moto par un bel après-midi, il se promenait ici et là afin d’échapper pour quelques heures au monde l’entourant pour s’adonner à sa passion la musique. En deux trois temps mouvements la guitare se trouvait sur les genoux, à peine le temps de l’accorder que les premiers accords commencés.
Après quelques temps la musique devenait plus claire, et commençait à prendre forme. La mélodie s’installait peu à peu, les notes sonnaient les unes après les autres dans une harmonie quasi parfaite, le ciel était bleu, et le soleil généreux il était temps de chanter !
Les premiers accords se mettaient en place, la chanson était sur le point de commencer, mais zut en se concentrant trop sur les tablatures il avait raté l’ouverture … Tant pis on recommence !
Cette fois c’était la bonne la chanson commençait, et cela donnait à peu près ça!
La chanson qui donnait à peu près ça !

Aux premières paroles un escadron de nuages sombres se précipita sur l’interprète, le soleil se trouvait cacher par cet épais rideau. Et soudain une pluie torrentielle tombait sur le pauvre Skelton, il couru vers le quai pour trouver une auberge ou se réfugier, sa guitare dernier rempart contre la pluie, mais on ne voyait rien à une distance plus grande que le nez de Sire Anno, si seulement il était là ,se disait Highway je pourrais m’abriter sous son immense nez ! Mais non personne mais il entendait les diverses cloches des navires, dont une qui donnait un La parfait, il se dirigea finalement vers celle-ci toujours sous son abris de fortune, il faillit glisser plusieurs fois sur la rampe, et finalement il était à l’intérieur surement dans ce qui devait être le préambule de la cabine du capitaine.

Et dire qu’on m’avait dit que c’était une guitare sèche ! (humour, faut rire ! Guitare sèche + eau = guitare plus sèche ! Tu vas rire oui!)

Hergranore se trouvait là, sur le port pour une fois rempli de monde. Rempli de monde, c'est à dire, rempli de clients potentiels, il y alla donc tuant quelques bestioles au passage puis il était là, dans le port occupé à marchander avec les autres ratlings, occupé à volé les elfs et à arna... vendre ses marchandises aux autres races. Tout d'un coup, une tempête retentit, des éclairs dans le ciel, le vent monte tout comme d'énorme vague.

Eh merde, c'est pas bon pour les affaires tout ça, à quoi est-ce qu'il s'amuse encore odieu?

pensa-t-il tout en regardant les vagues qui commençaient déjà à se rapprocher. Mais tout le monde partait dans la direction du bateau et lui, il n'allait pas resté là tout de même. Prenant ces biftons et en les plaçant bien dans sa bourse, il partit dans la direction du bateau. Bousculant quelques personnes au passage tout en profitant d'être tout près pour prendre quelques biftons à chacun des passager, il grimpa avant d'enfin arrivé dans l'une des cale du bateau, là, il serait enfin au sec.

Le bateau tanguait et Hergranore tomba à terre tout comme l'argent qu'il venait juste de voler, il avait lui, Hergranore, le rat-din laisser tomber des biftons. Odieu lui payera cet affront!!! Mais, il n'était pas seul et d'autres passagers étaient aussi là, il pourrait facilement faire leur poche. Il se décida donc de fouiller dans les poches des passagers mais son estomac cria bientôt famine!!!

J'observe le panorama qui s'offre à ma vue, le port d'AmsterDamné, ses quais bondés et vivants et son air vivifiant. De partout les marins s'acharnent à leur besogne, vider ou remplir des cales, réparer, lever l'ancre, larguer les amarres. Ils disent au revoir à leur famille, ou au contraire ce jette dans le bras, de retour après un si loin voyage. D'autres rentrent dans les bars et les cafés qui longent le quai, juste derrière moi. Ça sent l'alcool et les relents de la nuit dernière, une vague odeur d'égouts aussi et bien sûr de poisson. Il n'y a pas d'endroit où autant d'émotions contradictoires sont représentés autre que celui-ci... Il y a cet homme-là, que j'appellerais Grégoire, qui sert sa femme Jeanne et son fils dans ses bras, peut-être pour la dernière fois, avant de monter sur son bateau, et Jeanne qui agite un mouchoir en tissu, serrant son fils contre elle, et ce encore bien après que la grand voile ait disparu de l'horizon. Graviscain effraie les passants, une bouteille de rhum presque vide à la main, le nez rougit par le temps, des poches sous les yeux, le visage ridé à l'usure, il s'est allongé maintenant, contre une cabane de bois, avachi, l'air hagard, la bouteille vide, son regard perdu dans le vide pointe pourtant le mien, son désespoir m'envahit, toute trace de dignité l'a quitté quand la vie l'a abandonné, ce n'est même plus un être humain... Une larme coule doucement sous ma joue, alors que devant mon regard qui ne scille pas, Jernias le matelots se jette dans les bras du musclé Guernon, enfin de retour sur la terre ferme, celle qui ne glisse pas quand on pose le pied dessous, qui ne se dérobe sous notre poids, stable et rassurante.

Cela fait des heures maintenant que je regarde la vie grouiller sur les quais, dans les bateaux, autour de moi, immobile, j'en ai vu passer des Margaux, Bathilde, Grance, Natras... et même quelques têtes connues. La nuit s'avance, peu à peu, comme les nuages s'emparent du ciel, discrètement. Le vent déjà fort des bords de l'océan manifeste d'autant plus sa présence, la masse grise noirâtre craque et déverse tout ce que l'océan lui a céder durant ses pérégrinations. La tempête s'intensifie gravement, devient de plus inquiétante, les rafales de vent emportent mon châle, je me retourne brutalement, me couvrant de mes bras pour me protéger, mais il a déjà disparu derrière moi, bien loin et quand je me tourne à nouveau vers la mer, la brume s'empare des quais, l'averse créé un voile devant mon panorama qui s'estompe sous mes yeux que je tiens ouvert avec difficulté, toujours cachée derrière mes bras, résistants au vent tant bien que mal. Je suis déjà trempée et je ne vois plus rien, plus personne, ils ont tous courus à l'abri... A l'abri !
Des éclairs déchirent le ciel, l'océan gronde et envoie ses tumultes frapper contre la pierre et éclabousser bien au dessus du bord des quais, ajoutant de ses éclaboussures à la pluie, comme si cela ne suffisait pas. J'avance tout droit, ne distinguant plus rien que par le toucher et l'ouïe, je ne sais pas où je vais... Juste devant moi et après qu'il m'ait bousculé, je vois un ratling filer vers... un bateau... un magnifique et vieux rafiot...
Je ne l'avais pas vu plutôt, curieusement et maintenant que tout s'obscurcit, lui seul apparait... Le grondement de l'orage de plus en plus fort et plus près met fin à toutes mes hésitations, je cours et monte sur le pont du bateau. j'avance vers la porte de la cabine quand un craquement m'oblige à m'arrêter... Tremblante, je regarde la poutre sous mon pied, peu stable, pourrie, je la sent prête à se dérober sous moi... pas comme la terre ferme... Je respire un grand coup, rassurée qu'elle n'ait pas bougé, mais, un pas de plus et le léger craquement devient...

BROOOOOM

Le plancher cède et je passe au travers...

LeKris arpentait les rue d'Aster Damné avec sa liste de courses pour ses bonnes oeuvres.

Bâton de Merlin pour Genesis, ... Saroual.... oui! Je crois que c'est bon!

BROOOOOOOMMMMM

Houla! Ca sent la drache nationale ça comme on dit par chez moi!

Je précipite le pas. Auberge inaccessible

Les docks! On ne sait jamais.

Je me dirige vers le port. Pas un coin où s'abriter et la pluie commence à tomber à grosses gouttes. Je relève le col de ma gabardine. Ma tenue me protège bien mais passer le reste de la soirée sous la pluie n'est pas à mon goût.

Il pleut de plus en plus fort. On n'y voit plus à 5 mètres.

J'aperçois une passerelle. Je l'emprunte.

Au point où j'en suis.

J'arrive sur le pont d'un navire

Sujet: Re: Introduction RP : c'est ici que le jeu débute