Les quartiers de l'équipage Archives

Beaucoup s'en doutent depuis un bon moment.
D'autres se le cachaient pour y croire encore.

On a tenté plusieurs manoeuvre de réanimation?
Massage cardiaque, insufflation, et autre tripotage peu courtois.

Rien n'y a fait.

On s'est fait beaucoup de mal ces derniers temps.
Beaucoup de mal a s'acharner.

Le concept de Munuroe avait un potentiel, mais nous, avions nous vraiment la compétence …

Je repensais à ce que quelqu'un nous a dit en claquant la porte. D'ailleurs, un écho s'est glissé par la fenêtre après son départ en haussant les épaules et en dandinant du cul : Nous sommes fragiles et vacillants comme la flamme d'une bougie, trop instables pour qu'on y consacre son énergie créatrice.
C'est difficile de répondre à un écho. ça vient de loin, c'est aussi franc qu'un …

Age : 39 Race : Humain Date d'inscription : 25/12/2008 Nombre de messages : 79

Clair, précis, concis...Juste ce qu'il faut. Il est bien ce type, je déteste les gens qui s'épanchent dans des discours sans fin. Une petite tendance à se prendre pour le chef peut être qui vient gâcher le tableau...Mais c'est pas bien grave. Ce n'est pas comme si j'allais forcément faire ce qu'il dit.

Je me redresse en ralant plus pour moi même que pour l'assemblée

A ouais...on est dans une belle galère quand même.

Silencieux, j'attends patiemment que ces demoiselles reprennent leurs esprits.
Tiens, j'avais pas fait attention au ratling. Il a l'air assez paumé le pauvre. J'sais bien qu'on est sur un bateau mais j'vois pas ce qu'on pourrais faire d'une manille dans notre situation.
Tant pis je laisse courir.

Et encore une sylph, décidément, y'en a partout ....et ça se colle les unes aux autres, et ça se fait des mamours....Raaah. J'préfère m'absetenir de tout commentaire.
A tien, peut être pas finalement...Elle vient de balancer un truc qui m'fait sacrément tiquer.

Des virus et bactéries lavés par la mer et le vent ? Vous rigolez j'espère ?
Vus l'état de pourriture de ce rafiot, c'est un miracle si on choppe pas une infection avant d'en ressortir....
Si y'a eut une grave maladie ici, y'a fort à parier qu'elle traine encore dans le coin...Surtout si y'a encore des rats qui trainent dans le coin.

En parlant de rat, r'vla le ratling de tout à l'heure accompagné d'une des mioches que j'ai apperçu sur le pont tout à l'heure. Pitié, pourvus qu'elle se remette pas à pleurer...
Ah, et la p'tite sylph carmine semble émerger et reprendre quelques couleurs....Et L'autre zumain qui s'remet à causer avec ses airs de je-sais-tout.
Bon ok, il marque un point quand même avec le trou, c'est pas un endroit ou trainer. Par contre j'lui souhaite bon courage pour trouver de la bouffe potable. Par contre le ratling à l'air enchanté.
Ca ne m'étonne même pas. Ce genre de créature est tellement proche de leurs cousins rats qu'ils sont prêts à bouffer n'importe quoi....
La brusquerie de la réaction de la sylph blonde semble confirmer mes doutes. Ce soir, ça va être jeun forcé.

Ce qui est marrant c'est que depuis qu'on a parlé d'aller chercher des vivres, tout le monde semble se désintéresser des malades.
Je jette un regard inquiet à la sylpheline pourpre. Manquerait plus qu'elle nous lâche dans les bras

Hey, s'êtes sur que ça va ? s'êtes encore toute palotte....

Je m'accoupit auprès de la bléssée par terre

Et vous ? vous pensez pouvoir vous lever ?

J'espère bien. C'est pas évident de porter quelqu'un dans les coursives étroites d'un bateau qui tangue....Même si ça a l'air de se calmer.

Tiens? Le Six à l'air un peu plus énergique que certains.... Peut être un peu trop! Il fonce tête baissée sans savoir ce qu'il a devant. Mais ça me plais!

Mouais! Pour la bouffe et la boisson je suis assez moyen moyen! Le journal de bord parlait de contamination alors l'alimentation, si elle est encore comestible, n'en est certainement pas plus saine pour la cause. A moins peut être de faire bouillir l'eau et les vivres qu'on trouverait pour autant que cela soit faisable.

*essaye d'imaginer du pain occupé à bouillir! Haut le coeur accentué par le roulis heureusement réprimé*

Mais explorer n'est de toute façon pas un mal en soit

Je suis.

Me retournant vers ceux encore présent.

On se retrouve pour le petit déjeuner? hihihi

Avance à la suite de Six

Bon moi qui tentait de rationaliser et de me calmer le zumin aux tons rouges vient de faire tomber mes espoirs, et , tant mieux si Fyria se réveille , Reste Miléna... Harzka va bien à la voir réagir des sacs à moi ..Ses yeux reluquant Six de méchante façon...Elle, elle va bien. Je m'éloigne d'elle...Retourne a genoux a coté de Milena et du zumin... Je sors de ma besace un peu de mon alcool de pommes et en dépose sur ses lèvres, en les entrouvrant... Espérant que ca la fasse réagir et que ça la requinque un peu...lui parlant même si elle est pas toute là en les écoutant parler

Allez ma belle, il faut aller au chaud, Et le rêve des hommes forts qui vous portent sur une épaule , c't'irréel ici! Va falloir y aller pas à pas... Il a raison...

Et pour la bouffe en théorie s'agit de prendre des denrées en baril dans la saumure , si c'est encore bon c'est que c'était stérile non?

Je me relève et tends le flasque a Fyria...

Médicament , ça remonte un peu le feu aux joues , mais je crois que ça ne vous fera pas de tort.. essayez de faire couler dans votre bouche sans toucher le goulot s'il vous plait...
Je veux bien attendre ici que la Dame se sente assez en forme pour partir , et je sais ou est la piece , donc ca ne nuira pas...

Petit sourire en coin en voyant Lekris partir , quand même pas rassurée de rester ici.. je commence quand meme a me les geler un peu c'trop humide..

Soyez prudent et ne buvez pas tout!

Bah quoi on a encore droit de plaisanter, on est pas mort!

Bon... ba, je le suis... Pas envie de rester là... Dommage, Mike y est aussi. Rah, j'hésite. Bon bon bon, LeKris y va, et l'autre zumin aussi... Je serais surement plus en sécurité avec eux.

Themis pressa le pas pour rattraper le petit groupe.

[en avant pour la cale... avant hihi]

Bouuuuuuh, ça va trop vite pour moi !
Six se barre à croire qu'il a vu le fantôme de son ex-belle-mère, et en plus nan mais je rêve, mais il donne ses ordres !!!!! Alors ça, schnoll ! Exprès j'irai dans l'autre sens, tiens ! Euuuuh... Enfin dès que je pourrai aller quelque part.

On dirait que LeKris a oublié sa cape en s'ensauvant, tant mieux, je m'en enveloppe pour me réchauffer un peu... Il reste l'autre type, le rouquin, apparemment le seul à se souvenir qu'il y a une blessée par terre, là. Pfffff... Les mecs pensent qu'à leur zob et à leur estomac. Et Thémis... Ouais bon, elle a suivi là où allaient la majorité des mecs, logique.

Je me renfrogne, et comme rien ne presse, je m'adosse à un des poteaux de bois, et même que je m'assieds à son pied, tiens, pasque ça a beau être calme, là, c'est pas pour ça que ça va pas recommencer à danser... Et puis j'ai encore les genoux qui ondulent...

Je prends la flasque que la petite sylph' blanche me tends, le flaire...
Alcool.
Je la lui rends.

Merci, mais je peux pas. Pas de danger que je vous pollue le goulot, donc...

Je les regarde distraitement s'occuper de la fille... Pas gagné qu'ils arrivent à la faire lever.

Le plus malin ce serait encore de la mettre sur un hamac, et de le porter comme une civière, mais comme il reste plus que vous comme costaud, ça va pas le faire... Pffffff...

Leur zob et leur estomac, je vous dis !
Et avec ça j'ai un de ces coups de barre moi !!!!

On a trouvé à boire et à manger ! Rendez-vous tous dans la pièce principale !

Age : 39 Race : Humain Date d'inscription : 25/12/2008 Nombre de messages : 79

Je reste quelques instants songeurs, imaginant la scène d'un hamac contenant la blessée trainé à travers les coursives.

Mouais, c'est pas bête comme idée....Ca pourrait marcher.

Petit coup d'oeil rapide sur les sylphs qui m'entourent.

Mais vous pensez pouvoir m'aider à la porter ?

Franchement, j'ai des doutes.....c'est plutôt délicat comme créature.
Je me tourne vers la sylph vermeille.

En plus, vous semblez avoir déjà du mal à vous porter vous même...

Puis, plus pour moi même que pour un quelconque interlocuteur.

Au pire, je dois pouvoir la porter tout seul, même si ça sera moins confortable et que ça risque d'être plus douloureux.

La voix du zumain de tout à l'heure me tire de mes pensées et me fait râler à mi voix.

Super, de la nourriture avariée et de l'alcool frelaté. Et bon apétit...

Je relève des yeux interrogateurs sur mes compagnes d'infortune

Alors mesdames...on fait quoi ? on y va ?

Regarde Fyria refuse son précieux liquide, et boit la goulée qu'elle lui aurait donné , après tout, elle aussi en avait son lot. Et elle commençait a avoir de plus en plus faim...et envie...

Oui on y va! Pas trop le choix .. au pire on criera comme eux pour de l'aide hein! Elle ira mieux plus vite si il fait chaud!

Va vers les sacs et fait mine de chercher quelque chose de solide...s'accroupit et cherche dans les ballot s,enfouissant un peu , vive l'obscurité.. Quand même un inconvenient parfois d,etre blanche...retrousse ce qu'il faut et ahhhhhhhhhhh! enfin...Se soulage Sitôt fini s'exclame , pointant l'autre coté de la piece

Oh je crois que le hamac la fera l'affaire ! si elle n'est pas trop lourde...

Replace tout en un tour de main et file en vol...vers une forme suspendue qu'elle a vu précédemment et qui semble encore avoir une forme. l'étire en tout sens avec sa maigre force , il semble bon meme si duex mailles son defaite au centre

les imagine dejèa dans uen échelle le zumin devant avec la tête, les deux "grandes" sylphelines prenant chacune un bout pendant que Harzka voulant aider , pousse allegrement le postérieur de la blessée. Chose sûre , plus personne n'aura froid!

Vous la mettez dedans ...ou on la roule dessus

Regarde le monsieur.

En passant , moi c'est Nhess...

Un énorme champignon trampoline, il est violet comme la forêt et je bondis et je rebondis dans un nuage de ses spores verts et luisant et les arbres parlent, disent des choses bizarres, y'a même des arbres femelles... Je suis bien... La chaleur embrase mon côté gauche et remonte, remonte, remonte dans ma gorge qui pousse un léger bruissement aiguë, et puis dans mon œil, qui s'ouvre, grand et rond sur cet étrange monde, d'ailleurs où suis-je ?... tsssss, je préférais mon champignon... Où qu'il est d'abord ? Et mes arbres violets ?

Ici tout est gris et marron.

Mais qu'est-ce que je suis bien.
Et qu'est ce que ça tangue... trop... Ah voui, c'est vrai, le rafiot, la chute, et oh, non, pas l'envie encore...
Je préfère bondir et rebondir que tanguer, et bong, et bong, et bong.

Oh, quelqu'un se tourne vers moi, vite l'œil se ferme, et nature-pâture, je ronfle un coup. Je le fais bien hein ? J'aurais dû être comédienne, j'aurais jouer la fille qu'est morte, le cadavre posée dans un coin, et peut-être qu'en gagnant du galon j'aurais même joué la fille qui meurt. Une vraie vocation. Ah, mais il est encore temps !

Je rouvre un œil, un peu, en toute discrétion : la pièce s'est bien vidée depuis tout à l'heure, j'aurais pu le deviner à vue de nez, juste en écoutant mon oreille. Juste quelques personnes, dont un zumin et deux sylphelines. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé, mais qu'est ce que j'suis bien...
Ils veulent me porter, dans un hamac ? Pour aller dans une pièce plus accueillante ? Manger, boire ? Mouais, j'ai surtout envie de faire pipi actuellement. C'est pas gagné qu'ils le prennent bien si je leur demande de me conduire aux toilettes. Et puis me porter dans un hamac c'est une grande idée, comme ça je retourne sur mon champignon encore un peu... juste un petit peu. Et je ne suis pas trop lourde Madame Nhess !
Allez, portez moi, mais faites attention tout de même, j'aime pas trop le contact de vos mains sur ma peau, on m'a assez palpé pour aujourd'hui.

mais qu'est ce que j'suis bien !

Je le savais que ça allait se gâter.
Je le savais.

Ca a été brutal, violent, monstrueux comme une gifle en pleine gueule, intolérable.
Le bateau s'est cabré, il a tangué, plongé, hurlé sa malveillance de ses mille poutres tordues.
Il nous hait.
Je le sens.

J'ai lâché les pans de la cape et je me suis plaquée sur le plancher.
Je me fous de la blessée, des autres, du reste du monde.
Je hurle à m'en casser la voix.

Même quand tout se calme aussi soudainement que ça a commencé, je reste collée au sol, hurlante, même si mon hurlement n'est plus qu'un miaou éraillé de chaton terrorisé, épuisé, à bout.
Je veux partir d'ici.
Maintenant.
Je n'ai confiance en aucun d'eux.

Je me lève, j'oublie la blessée, la sylph blanche, l'homme roux, ils ne me sont rien.
Je veux le sol ferme sous mes pieds.
Je veux le ciel.

Je m'enfuis, traînant mes ailes humides après moi.
Vers le haut.
Au hasard.

Age : 94 Race : ... Date d'inscription : 30/01/2009 Nombre de messages : 27

Des bruits de pas crevent le silence...

Dans tout le navire, du pont aux cales
Les pas résonnent
Des pas sur le plancher qui grince
Et qui s'approchent...

Nul ne peut plus echapper à la terreur

Des pas , des...pas ..une armée de pas et le bateau qui tanguer en tout sens.. un silence lourd de sens comme pour amplifée le malaise quand on devine l'ampleur des vagues qui doivent faire balancer la coque..comme que pour entendre ce bruit ...ces pas , presque au pas... Crinère qui se herisse , peau qui se couvre de brail fou.. Ils sont partis a plusieurs mais jamais autant ...et la Fyria qui part sans bruit...Et la zumaine qui est bien... Grand étau solide sur ses poumons , le poids de l'air est intense. d'instinct je prends Harzka par la main trop peu retrouver les autres , vite.. Etrangement je crie dans le silence comme par peur qu'il etouffe mes paroles.

Et bien mademoiselle si vous êtes bien suivez moi , Monsieur vous aidera propablement en soutien , * jete un regard implorant a l'homme a l'aura rouge* on va à la pièce principale de suite , on ne reste pas ici , la il fait chaud , il y a de la nourriture et si j'ia des hallucinations..je prefere le savoir de suite! Viens suis moi Harzka et ne me lache pas la main je t'en prie...

Paniquée, le corps tendu comme les oreilles volete rapidement vers la porte prête a aller a la pièce principale...n'attendant pas vraiment de réponse
Allons là bas!

Ok, là ce n'est plus drôle du tout...
La tension qui passe soudain à son paroxysme me fait l'effet d'une grande gifle qui me fait redescendre brusquement sur terre. Finit de planer. C'est trop, c'est trop, c'est trop.
Entre le froid, l'humidité, le bois moisi, les personnes sur les nerfs, l'angoisse qui se répand telle une épidémie, les cris, les inconnus, ma chute, l'envie de vomir et de faire pipi et surtout, surtout les phénomènes étranges... Ce serpent d'ombre qui a laissé une marque encore visible sur mes chevilles et qui est devenue une main à quatre doigts avant de s'évanouir... Je suis sûre que je l'ai vu, je suis sûre que c'était réel. Ou alors je deviens folle...

Brusquement, j'ouvre les yeux, je relève le buste et je cris.
Des bruits de pas qui se rapprochent... Ma gorge qui se noue à nouveau... Mon cœur palpite... Mes yeux se rivent vers la source du bruit... Hors de question de rester plantée là à attendre que les pas soient assez près pour en deviner l'origine. La main m'a largement suffit.

Allons là-bas

Je suivrais n'importe qui et n'importe quoi jusqu'au bout du monde dans ces moments là, surtout quand ce n'importe qui n'attends pas de savoir si on le suit ou pas.

Je devrais pouvoir marcher, dis-je tremblotante, mais convaincu que je pourrais même courir s'il le fallait.

Je me lève et entraîne l'autre zumin avec moi, en le tirant un coup par le bras, sans garder plus longtemps le contact. Les yeux écarquillés, je suis la jolie créature blanche et la petite. Les présentations se sera pour plus tard. De même, il faudra qu'ils m'expliquent ce qu'il s'est passé ici bas, mais plus tard.
Les pas se font de plus en plus oppressant... vite...

suis Nhess et Harkza...

Sonnée, assourdie par la violence des coups contre la coque, Harzka se replie sur elle même, sur ses pensées heureuses. Sa poignée de pensées heureuses. Elle n'en a pas beaucoup, juste ce qu'il faut tenir un semblant de santé psychologique.

Sa "mère", rien de ce côté là. Que malheur. Seule sa soeur s'occupait d'elle. Depuis longtemps. Comme l'indigente qu'elle est devenue. L'ombre d'elle même. La terreur du noir revient. La terreur de l'Autre. Cet autre qui la chasse depuis toujours. Être coincée ici avec des Autres, ça l'horrifie. Aussi, quand d'une main douce Nhess la guide, qu'elle parle d'une voix qui ne permet pas la tergiversation, elle la suit docilement, le regard vague et le corps encore engoncé dans son sac vomissant des habits.

Age : 39 Race : Humain Date d'inscription : 25/12/2008 Nombre de messages : 79

Et en un instant, le monde bascule. C'est le bordel, la température fait un bond, des bruits étranges résonnent dans les coursives.

Ça hurle, ça se carapate à toute vibure dans tout les sens.
Et voilà t'y pas que la blessée qui faisait sa mourante se lève d'un coup pour se précipiter vers la sortie, m'attrapant le bras et me trainant derrière elle.
Coriace la petite. Finalement elle a pas l'air d'avoir besoin de mon aide.

Très vite, elle me lâche. Elle doit pas raffoler des contacts avec les inconnus, elle.
Un instant, je reste interdit, observant le trio s'éloignant dans la coursive en direction de lieux plus hospitaliers.
Du moins c'est sans doute ce qu'ils croient. Moi je n'en suis pas si sur.

Bon dieu, je capte rien à ce qui se passe sur ce foutus rafiot...et j'aime pas ça.
A tout prendre, je préfère encore suivre le groupe plutôt que d'affronter seul ce qui rôde entre les planche de cette épave.
C'est donc d'un pas rapide que je leurs emboite le pas, tachant au mieux de les rattraper.

Sujet: Re: Les quartiers de l'équipage Archives